Question : Existe-t-il une graduation
dans le passage des dimensions ?
Non, absolument pas, chère âme. Nous avons des phénomènes quantiques étalés de
passages dimensionnels. Toutes les dimensions sont possiblement viables.
Néanmoins, il existe des octaves, qui sont parfaitement identifiées, qui
correspondent à des manifestations harmonieuses, quel que soit le degré de
disharmonie de vos dimensions basses. Ainsi nous pouvons, en restant
schématique, en tout cas accessible à un cerveau humain, définir 34 dimensions.
Les dimensions 2 sont accessibles à l’Esprit humain, elles ont correspondu à la
conscience collective qui préexistait avant l’individualisation de la
conscience sur le continent de Mû. La dimension trois que vous connaissez.
Ensuite, nous passons à la cinquième et puis après à la septième puis à la onzième
et ensuite nous sautons aux dix-huitième, vingt-quatrième et trente-troisième
dimensions. Au-delà cela risquerait de heurter votre cerveau dédoublé.
Néanmoins nous pouvons dire que les plans intermédiaires sont des plans
constitutifs des dimensions immédiatement proches. Ainsi la quatrième dimension
correspondrait à ce que vous appelez le corps mental où nous trouvons une
intrication de plan venant de la cinquième et de la troisième avec ses
subdivisions en mental inférieur (ce que vous appelez la raison) et en mental
transcendé (qui correspond à ce mental éclairé qui n’a pas besoin de l’analyse
pour comprendre).
Maintenant, si nous parlons de la cinquième dimension, nous
avons accès, je vous le disais, à cette conscience collective et à ce corps de
troisième sans pour autant connaître l’état émotionnel dans lequel vous vivez.
Nous possédons certes un corps. La qualité de notre sang n’a plus rien à voir
avec le vôtre quant au niveau de ses caractéristiques chimiques, physiques,
thermiques. Néanmoins nous avons conscience bien évidemment de consciences
supérieures qui pour vous sont encore bien loin, comme la septième et la
onzième. J’ai parlé.
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EXTRAIT sur le forum
Transmis Le 25 août 2002 : par Sylviane PICHS
"Malgré mes méditations journalières, et des efforts pour essayer d’améliorer les situations souvent difficiles, je me sens empreinte d’une grande morosité, ce n’est pas tout à fait la tristesse qui me trouble mais plutôt une grande nostalgie qui persiste, qui est là à l’état latent depuis deux mois. Ma belle nature, mon site splendide et magique a pleuré tout l’été. Ciel bas et épais et, constamment nuit et jour, la pluie. Les larmes du ciel se sont déversées à flot, la maison si remplie chaque été de visites, de cris d’enfants, de jeux dans la piscine a été muette et déserte. Cela n’était jamais arrivé ; pendant tout ce temps, il m’était dit télépathiquement que cette situation inattendue était nécessaire et que je saurais pourquoi bientôt.
Et voilà que ce matin, j’en ai l’explication.
Je me trouve devant un fait étonnant. Il s’agit de la campagne vue d’en haut, la nuit tombe, ce qui me permet de distinguer dans le ciel et sur la terre, des formes grouillantes, blanches et transparents ; on me dit : "Se sont des invertébrés". Ils s’agitent dans tous les sens comme des vers, mais ont les formes de corps humains, c’est à dire une tête, un corps, deux bras et deux jambes. Ils sont minuscules et on voit au travers de leurs corps. Que font-ils ? Je ne le sais pas, on ne me l’explique pas.
Je les vois seulement descendre du ciel et atterrir. il y en autant qu’ils font penser à des flocons de neige."
(J’avoue que j’en ai peints beaucoup moins que ce que j’ai vu).
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